Traductrice et journaliste, je ne parle pas la bouche pleine. Mais je n’écris jamais le ventre vide. Mes coups de food(re) en Flandre se dévorent sous l’onglet kuisine. Vos pépites, elles, sont racontées en mots et en images avant d’être imprimées en édition limitée.

Virginie

agence de traduction

Chez talkie-walkie, on traduit des idées, pas des mots. Toujours dans sa langue maternelle (français, anglais, néerlandais, allemand, espagnol, italien) et son domaine de spécialisation (alimentation, art, culture, économie, mode, politique, voyage). La langue, c’est notre métier. Pas question de la donner au Chat(GPT) !

ELLE Belgique

La carrière de Kamala Harris a commencé très tôt. Elle rit de bon cœur lorsqu’elle se souvient avoir été trimballée dans une poussette de fortune à l’occasion d’une marche pour les droits civiques à Oakland, en Californie, avec ses parents et son oncle. À un moment donné, elle est tombée de la poussette – à l’époque, les règles de sécurité en la matière étaient moins strictes –, et les adultes, entraînés par le mouvement de la manifestation, ont continué à marcher comme si de rien n’était. Après avoir remarqué l’absence de Kamala, ils ont fait demi-tour et retrouvé une petite fille contrariée. « Ma mère m’a raconté que je me suis énervée. Elle m’a demandé ce qui se passait, ce que je voulais. Je l’ai regardée et je lui ai répondu : être libre. »

Extrait d’un article traduit pour ELLE Belgique, « Kamala Harris. À propos de l’optimisme ».

IDEAT Benelux

Les sculptures d’Audrey Large évoquent des fouilles archéologiques menées dans un futur lointain. Voire des objets issus d’une civilisation extraterrestre. En effet, leurs formes aérodynamiques les rapprochent de l’imagerie futuriste des films de science-fiction. Parées de couleurs fluides, elles présentent l’éclat artificiel des animations informatiques high-tech. « Mes objets sont basés sur des ustensiles du quotidien, mais ils occupent l’espace et agissent autrement. Qu’a-t-on vraiment sous les yeux ? À partir de quel moment le malaise s’empare-t-il du spectateur ? », explique Audrey Large à propos de son travail. « Cette tension entre l’homme et l’objet, c’est mon terrain de jeu. »

Extrait d’un article traduit pour IDEAT Benelux, « Audrey prend le Large ».

journaliste

Je m’intéresse de près à l’alimentation — en ligne, sur le papier et à la radio. Pour moi, la cuisine est un passeport vers les cultures locales. Une porte d’entrée vers des lieux qui stimulent les sens et réchauffent autant les ventres que les cœurs. Mes autres obsessions ? L’art, l’architecture, le design et les tendances d’ici et d’ailleurs. Avec, toujours, une attention particulière à celles et ceux qui les imaginent, les construisent, les font vivre.

IDEAT Benelux

Avec son ADN évoquant Apple, Cowboy séduit grandement au Benelux et à l’international. Elle multiplie les collaborations, de Adidas à Uniqlo, pour une image lifestyle. « Nos utilisateurs restent des hardcore riders, avec plus de 150 trajets par an en moyenne, révèle Tanguy Goretti, cofondateur. En effet, Cowboy est leur principal moyen de transport, et nous voulons aller plus loin. » Comment ? En levant les freins à l’adoption du vélo en ville, notamment le vol et la sécurité, via un tracking et un système de détection d’accidents. À travers la collecte de données sur la pratique urbaine, Cowboy devient aussi un partenaire des métropoles, contribuant à fluidifier l’expérience cycliste.

Extrait d’un papier publié dans IDEAT Benelux, « Vite, la roue se réinvente ! ».

VivaCité/RTBF

Pour démêler l’artisanal de l’industriel, il faut prêter attention à trois éléments essentiels — les matières premières, à commencer par le beurre : un bon croissant doit sentir et goûter le beurre ; le feuilletage, qui relève d’un véritable savoir-faire : un croissant, ça se tripote, ça s’effeuille, ça s’émiette ; et le poids : un croissant artisanal pèse deux fois plus lourd qu’un croissant industriel.

Extrait d’une chronique food hebdomadaire dans Liège Matin, « Trois croissants qui ne comptent pas pour du beurre à Liège ».

kuisine

Édito

La cuisine est un sujet à la fois trivial et complexe. Sans doute parce que l’alimentation est un besoin vital, mais aussi une question de savoir et d’apprentissage.
Manger ne devrait pas se résumer à couvrir nos besoins nutritionnels. Manger, c’est aussi découvrir des associations audacieuses d’ingrédients, s’émouvoir devant des assiettes bien troussées, savourer des discussions interminables à table, s’ouvrir, s’abandonner aux bons soins de celle ou celui qui nous reçoit. À mes yeux, cuisine et amour sont deux langages universels, qui nous unissent et nourrissent. D’ailleurs cuisiner pour autrui, c’est peut-être déjà une preuve d’amour.
Manger, c’est également poser un acte.
Je crois en une autre façon de (re)faire le monde qui passe par une production et une consommation alimentaires responsables.
Mais manger, c’est avant tout pour moi raconter les histoires à manger debout qui se cachent derrière les recettes, plats, bars et restaurants de celles et ceux qui travaillent quand les autres s’amusent…
kuisine puise ses racines dans mon amour gras pour la Belgique, qui m’a amenée à devenir traductrice puis journaliste.
J’insuffle dans ce projet ma passion pour la Flandre et le dépaysement qu’elle me procure, l’espace de quelques heures ou quelques jours. En Flandre, je me sens chez moi et ailleurs puisque je suis liégeoise.
Il y règne une autre atmosphère, qui émane d’une autre culture. Et la culture, c’est comme la confiture, ça se dévore !
Ce numéro zéro répertorie mes coups de food à Leuven. Des bons plans cuits à basse température, loin des sujets brûlants de la presse traditionnelle. Des belles rencontres assaisonnées des traits de crayon de Donatienne et des photos intemporelles de Benjamin Nº1. Le tout relevé par les idées bouillonnantes de Benjamin Nº2.
Dikke merci à vous trois.

Extrait du numéro zéro de kuisine, « Édito »

pépites

La vie est faite de secrets, de blagues, d’aventures, d’expériences qu’on prend rarement le temps de raconter à ses proches. À partir de vos pépites, je crée, avec Donatienne Nieus, votre livre-objet en mots, en images, et en édition limitée.

Huguette

Je m’appelle Huguette, un prénom amené à disparaître. Il n’y avait déjà pas beaucoup d’Huguette à mon époque. Et même si les vieux prénoms reviennent en force aujourd’hui, je suis sûre que le mien sera mis aux oubliettes. 

Extrait des « Pépites » de Huguette.

Catherine

Quand je regarde dans le rétroviseur, je ne regrette rien de toutes ces années. J’ai pris du bon temps, j’ai fait ce que je voulais faire, j’ai aimé qui je voulais aimer, et j’arrive à me dire que peu importe le nombre d’années, pourvu qu’elles soient belles. Et elles ont été belles, elles sont belles. Même si c’est plus dur maintenant, je trouve que j’ai eu de la chance. Après, je ne sais pas si on peut appeler ça de la chance, parce que l’amitié par exemple, ce n’est pas de la chance, ça fonctionne dans les deux sens. Ce sont des relations qu’on entretient, qu’on nourrit, qu’on garde. Je suis entourée de tellement belles personnes.

Extrait des « Pépites » de Catherine.

café (sans) filtre

Virginie Dupont

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